Ce qu’on vit et comment chacun y réagit…
Depuis 2020, le monde est plongé dans une sorte de psychose focalisée autour de la crise sanitaire née du Covid-19. Si certains pays surtout dans les pays dits pauvres semblent moins touchés par la frénésie qu’on observe ailleurs, en occident notamment, c’est le monde entier qui vibre autour de discours aussi alarmants les uns que les autres.
En effet, les médias du monde riche semblent s’être donnés le mot pour dérouler à longueur d’éditoriaux, de journaux et d’émissions, la litanie des morts et de toutes ces raisons qui devraient définitivement persuader chacun que la crise est grave, très grave.
Et là, on assiste à certains paradoxes, pas ou peu de mots sur les traitements existants ou les optimistes résultats des pays qui cèdent moins à l’alarmiste. Pas ou très peu de mots sur les effets secondaires tant corporels que matériels ou financiers de la gestion actuelle de la crise en Occident : confinements, isolement, pass sanitaire, vaccination quasi obligatoire, etc.
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Ainsi, malgré toute la sérénité dont on pourrait faire preuve, difficile de ne pas être affecté
Les manifestations de plus en plus nombreuses qui ont lieu chaque semaine dans des pays comme la France, sont d’ailleurs un signe tangible que les populations – du moins une partie, ne sont pas toutes convaincues par le discours officiel et médiatique. Face à un contexte anxiogène, les appels au calme, à la « zen attitude » sont légion dans les groupes de discussion ou de soutien en ligne. Les partages d’expériences aussi, qu’il s’agisse de mieux gérer son stress ou des difficultés physiques vécues. car oui en effet, ce contexte chez certains s’est accompagné ou s’accompagnent de réveil ou apparition de problèmes sanitaires ou chocs traumatiques.
Certains en ces moments découvrent sans doute que toutes les épreuves passées dans leur vie les ont préparé à mieux encaisser la situation en cours. Une résilience dont ils n’avaient pas toujours conscience. D’autres peuvent enfin mettre des mots sur des intuitions, des choses relevant jusque-là de ces choses qu’on garde en soi, de peur de passer pour « anormal ».
D’autres mettent le doigt sur leur ultime « point de vigilance » comme diraient certains spécialistes. Cette chose qu’on doit transcender pour en faire du positif : crainte du changement, de l’avenir, etc. D’autres enfin confirment juste une vérité qui les a toujours habité. La nôtre : le changement naît d’abord en chaque individu. Et une fois installé, c’est la force la plus puissante car l’individu devient co-créateur pleinement conscient de sa place, de son « pas de danse » dans la chorégraphie de la Vie.©Minsilizanga.com
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