Des émotions derrière nos réactions…
Mintsogán/Réflexions
Vous est-il arrivé
de le remarquer ?
A partir du moment
où on interroge nos émotions,
même celles qui nous paraissent
si louables, que de découvertes sur soi !
Exemple : du droit de dire, informer, sensibiliser
Certaines personnes détenant une once de vérité
la conserveront jalousement, c’est leu droit absolu.
Mais il suffira qu’un tiers
essaye de dévoiler cette vérité
alors, subitement ils deviendront diserts.
Ils diront que ce tiers soit ne connaît rien, soit survole le sujet.
Ils estimeront que ce tiers devrait aller dans tel ou tel sens,
qu’il devrait faire ceci ou cela, dire de telle ou telle façon.
Ils diront que ce tiers devrait cesser
car dévoilant des choses à des profanes.
Pour eux, ceux à qui s’adressent le message sont vus
comme un public non prêt à assimiler ces vérités.
Minsili…
Questions…
Qu’attendaient ceux qui sont dans cette posture, pour parler?
Fallait-il donc qu’un tiers s’exprime pour qu’ils le fassent à leur tour,
Le plus souvent pour critiquer celui qui parle?
Au fond c’est simple…
A partir du moment où on interroge nos émotions,
même celles qui nous paraissent si louables, que de découvertes sur soi !
Et si derrière la critique envers l’autre,
C’est une « colère » qui ne dit pas son nom, voire de l’envie ?
Celle de voir un autre faire ce quon n’ose ou ne veut pas faire ?
Découvrir qu’on nourrit une telle émotion devrait-il faire honte ?
Ou au contraire faire rire ?
Oui oui, faire rire de soi, rire !
Une façon de prendre du recul.
De se dire : ok j’ai compris !
J’ai saisi l’émotion derrière ma réaction.
Et je je peux dès lors la dépasser et la transcender.©Minsili ZANGA
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